CSP : conséquence du défaut d’information du salarié sur la priorité de réembauche (Cass. Soc. 26 février 2025)

Temps de lecture : < 1 minuteLe défaut d’information du salarié ayant adhéré à un contrat de sécurisation professionnelle sur la priorité de réembauche ne prive pas la rupture du contrat de travail de cause réelle et sérieuse, mais permet seulement au salarié qui justifie d’un préjudice d’obtenir des dommages-intérêts.

CSP : la note sur le motif économique doit énoncer l’incidence des difficultés économiques invoquées sur l’emploi du salariée (Cass. Soc. 11 septembre 2024)

Temps de lecture : 2 minutesLe document écrit par lequel l’employeur informe le salarié du motif économique de la rupture de son contrat doit énoncer à la fois la raison économique qui fonde la décision et sa conséquence précise sur l’emploi ou le contrat de travail du salarié. A défaut, la rupture est dépourvue de cause réelle et sérieuse.

CSP :  l’information sur le motif économique de la rupture peut être donnée en même temps que les propositions de reclassement (Cass. Soc. 12 juin 2024)

Temps de lecture : 2 minutesDepuis plusieurs années, la jurisprudence exige que le salarié soit informé par écrit, au plus tard au moment de l’acceptation du contrat de sécurisation professionnelle (CSP), du motif économique justifiant la rupture du contrat. A défaut, la rupture est dépourvue de cause réelle et sérieuse.

CSP : l’information relative au motif économique de la rupture doit être donnée avant l’acceptation du CSP (Cass. Soc. 17 janvier 2024)

Temps de lecture : < 1 minuteDepuis plusieurs années, la jurisprudence exige que le salarié soit informé par écrit, au plus tard au moment de l’acceptation du contrat de sécurisation professionnelle (CSP), du motif économique justifiant la rupture du contrat. A défaut, la rupture est dépourvue de cause réelle et sérieuse.

CSP : l’adhésion au CSP emporte renonciation aux propositions de reclassement (Cass. Soc. 6 décembre 2023)

Temps de lecture : 2 minutesLorsqu’un salarié adhère à un contrat de sécurisation professionnelle, la rupture du contrat de travail intervient à l’expiration du délai dont il dispose pour prendre parti. Si cette adhésion ne prive pas le salarié du droit de contester le respect par l’employeur de son obligation de reclassement, elle entraîne toutefois nécessairement renonciation de sa part aux propositions de reclassement qui lui ont été faites.